Les Heures Bleues 2023 sont annoncées sur Culturo, l’agenda des sorties culturelles en Région Sud.
https://culturo.fr/evenement/Festival_Les_Heures_Bleues_2023-ADPA_046_18412460330
Les Heures Bleues 2023 sont annoncées sur Culturo, l’agenda des sorties culturelles en Région Sud.
https://culturo.fr/evenement/Festival_Les_Heures_Bleues_2023-ADPA_046_18412460330
Les Heures Bleues 2023 sont annoncées sur MyProvence, le média de Provence Tourisme.
https://www.myprovence.fr/agenda/festival/marseille/les-heures-bleues
Les Heures Bleues 2023 sont annoncées sur eTerritoire, la plateforme de promotion des territoires.
Comme l’année dernière, nous figurons sur l’agenda en ligne « Alentoor ».
https://www.alentoor.fr/marseille11/agenda/4251026-les-heures-bleues
Les Heures Bleues sont de retour les 6,7 et 8 juillet prochain.
Si nous nous retrouvons à nouveau sous les étoiles, c’est bien avec ce regard particulier presque poétique sur ce troisième festival que le Château Saint-Antoine accueille. L’idée du festival est d’abord celle de Thierry Zaveroni qui l’avait en tête et avait pressenti tout le potentiel d’un tel site (le Château Saint-Antoine) et de l’implication de la Grande Loge de France dans un tel projet novateur.
Dès 2018, sous la présidence de Philippe Jacolin, Saint Jean d’Ecosse va s’atteler à mettre en œuvre une première édition, ce qui fut fait en juillet 2019. Après deux années de Covid c’est en 2022 que le festival reprend vie. Trois jours durant, s’y retrouvent à nouveau dans ce lieu si chargé d’histoire et propice à la convivialité, toutes celles et tous ceux qui aiment à partager la culture. Sous la houlette de Sauveur Cavataio, Président de Saint Jean d’Ecosse, avec une équipe pleine d’idées et d’envies, le festival 2023 fera la part belle autant à la photo, qu’à la littérature, comme à son habitude.
Mais c’est au travers de ces soirées musicales que chacun sera invité au voyage. Les impromptus du collectif « Guinguette Hot Club » nourriront l’ouverture de chacune d’elles et promettent de beaux moments de découvertes ou de redécouvertes au travers d’interprétations de chansons françaises et de musiques du monde. Ainsi mis en orbite vers les étoiles, nous pourront alors poursuivre notre traversée du monde musical grâce à l’Orchestre philarmonique de Provence (6 juillet), I Messageri (7 juillet) et Canta Diva (8 juillet). Pour bien faire, chaque semaine nous apporterons un éclairage tantôt sur une des formations.
Pour sa seconde édition, après deux années d’annulation du fait de la crise sanitaire, le festival Les Heures Bleues a conquis son public et confirmé sa vocation d’un festival de valeurs.
Tradition, Renouveau et Partage présidaient à ce millésime 2022 placé sous le parrainage de Raphaël Imbert.
Prenant ses quartiers d’été pendant 3 soirées sous la voûte étoilée, de la fin de journée encore ensoleillée à la douceur bleue des nuits d’été, le domaine du Château Saint-Antoine a résonné des accords des chants populaires de Méditerranée, comme du jazz le plus créatif, ou encore des pièces classiques pour piano, sans oublier les cuivres endiablés, ni l’évocation théâtrale de Marcel Pagnol.
Sept groupes, compagnies ou artistes solo, comptant au total jusqu’à 53 musiciens ou acteurs, se sont succédé pour le plus grand bonheur du millier de spectateurs : la compagnie Rassegna, la fanfare Fiera Brass, le septet New Thing et Raphaël Imbert, avec les lauréats de la classe de jazz du conservatoire Pierre Barbizet, le DJ Nat Low, la compagnie « Dans la cour des grands », et l’extraordinaire pianiste Shani Diluka.
Entrevues, l’exposition de photographies, présentait en extérieur une sélection d’œuvres d’Alain Boccard, Patrick Box, Christian Bruno, Laurent Caitucoli, Philippe Jacolin, Laurent Le Crabe et Nicolas Trouvé. Une exposition «D’ici et d’ailleurs» qui a fait l’unanimité.
Le fonds de dotation de la Grande Loge de France, « Fraternité & Humanisme », notamment dédié à la création et à la jeunesse, a remis les prix 2022 des Heures Bleues aux 3 musiciens du conservatoire Pierre Barbizet et aux 3 photographes lauréats.
Parmi les photographes, le public a désigné Laurent Caitucoli pour le 1er prix, Alain Boccard pour le 2èmeprix et Laurent Le Crabe pour le 3 ème prix, respectivement dotés de 500€, 250€ et 150€. Une jeune main innocente a tiré de l’urne le nom de madame Françoise Parisot parmi les bulletins de vote ; cette spectatrice a donc pu choisir un tirage photographique d’une valeur de 150€.
Côté musique, Medhi Telhaoui a reçu le prix de piano, et en jazz sont ex-aequo Élise Vassalluci au chant et Léo Hubert au saxophone. Ils ont chacun reçu 1000€ pour les encourager dans leur carrière.
Confiant en ces promesses d’avenir, Thierry Zaveroni, Grand Maître de la Grande Loge de France, présidait en toute simplicité chaleureuse à ces instants chargés d’émotion.
Les artistes, qui sont souvent des auteurs, ont dédicacé leurs livres et leurs disques à la librairie du Château pendant que le restaurant affichait complet ; heureusement la guinguette de Fred répondait présent sur l’agora des rencontres !
Au Château Saint Antoine, culture, convivialité et sens de la fête sont une seconde nature.
Chacun en convient, le Château Saint Antoine, caché sur la rive de l’Huveaune, mérite pleinement son qualificatif d’un « ieu qui vaut le détour».
Mais rien de tout cela n’aurait pu se faire sans le formidable engagement des 60 volontaires qui ont assuré tous les postes, des plus discrets aux plus visibles, et sans la confiance témoignée par les partenaires. Tous sont chaudement remerciés.
Les Heures Bleues, tout le monde s’y retrouve !
Et à l’année prochaine…
Avec une courte illustration vidéo:
Le public du festival « Les Heures Bleues » était invité à voter pour choisir, parmi les sept photographes exposants à « Entre-vues« , celui qu’il voulait particulièrement distinguer.
Le résultat des votes du public a été le suivant:
– Premier, Laurent Caitucoli
– Deuxième, Alain Boccard
– Troisième, Laurent Le Crabe
Chacun a été récompensé par un prix versé par le fonds de dotation «Fraternité et Humanisme».
Un bulletin a été tiré au sort parmi les votants, et c’est Madame Françoise Parisot qui a gagné une photo de Laurent Caitucoli, photo qui a pour titre « Dans les clous ».
Samedi soir, nous avons terminé le festival en beauté.
La compagnie « Dans la cour des grands » nous a ramené « Un soir au bar de la marine ».
Vous le voyez, il y avait des spectateurs même derrière eux… Mais on voyait mieux en étant devant, voici donc un court extrait filmé.
Et le salut, final, avec, au milieu des acteurs, Thierry Zaveroni.
Entre les deux spectacles, nous avons dépouillé les bulletins de vote du concours photo, et le choix du public s’est porté, en premier sur Laurent Caitucoli.
Laurent Caitucoli, premier, Alain Boccard, deuxième, Laurent Le Crabe, troisième, se sont vu chacun remettre un prix par le fonds de dotation « Fraternité et Humanisme« .
Puis nous avons entendu le récital de piano de Shani Diluka.
La lune en son croissant était juste au-dessus de la scène pendant qu’elle jouait la « Sonate au Clair de lune » de Beethoven. Un prodige d’organisation dû au talent de l’équipe du festival, constituée, rappelons-le, entièrement de bénévoles.
Quelques instants de musique, quand même… avec la « Danse rituelle du feu », de Manuel De Falla.
Un grand moment d’émotion.
Merci, Shani Diluka, merci pour ce moment.
Et, avant de clore le festival, un moment de détente avec le DJ Gaetan Lauff.
Alors, à l’année prochaine?
Nous y travaillons, enfin, nous y travaillerons après quelques jours de repos.
En attendant, vous pouvez soutenir financièrement le festival en faisant un don sur Helloasso.
Et vous pourrez nous suivre toute l’année, ici-même sur notre site Internet et sur notre page Facebook. Aimez, partagez, aidez-nous à nous faire mieux connaître pour être encore plus nombreux à partager, l’année prochaine, ces Heures Bleues qui, il faut bien le dire, sont magiques.
Vendredi soir, le public des Heures Bleues pouvait applaudir trois élèves ayant reçu tout récemment un prix du Conservatoire National de Marseille Pierre Barbizet.
Ils ont reçu, chacun, en plus bien sûr du prix du Conservatoire, un prix de 1000 Euros attribué par le Fonds de dotation «Fraternité et Humanisme», pour leur permettre de poursuivre plus sereinement leurs études et de démarrer leur carrière.
Et voici le maître, enfin, le directeur du Conservatoire, et l’élève:
Ils répètent, en costume de scène, c’est pour cela que cette répétition est traditionnellement nommée « la couturière ».
Mais où est Raphaël Imbert?
Le voici, avec sa formation…
C’est toujours mieux avec le son, non?
Mais quel est cet extraterrestre?
Vous le découvrirez samedi 2 juillet, en venant assister au récital de piano donné par Shani Diluka.
La billetterie est toujours ouverte sur Helloasso.
Et, bien sûr, vous pourrez aussi prendre des billets sur place.